Weekend à me réveiller très tard, avec Mini Dragon contre moi, à presque onze heures. Lui, encore habillé comme la veille, moi en cardigan trop douillet pour être retiré.
La veille nous avions fêté les soixante ans de mon oncle dans un chouette resto à Repenpen, Le Coup Monté. Le resto d’un ami d’enfance, mon voisin qui se souvient de mon amour pour la chanson de Watatatow et pour le jeu Kick la cacane.
Samedi de réveil tardif, de petits pieds chauds et de brunch brésilien avec des amis-sans-enfants, dans un appartement avec de la déco qui ne demandait qu’à être brisée en mille morceaux ou tachée ou parsemée d’autocollants de fleurs et de camions de pompiers.
Dimanche à la bibliothèque, de papa qui répare des peluches, de promenade en bicyclette, sous un ciel gris. Ma fille qui me dit: “Il faut aimer la pluie. Sans la pluie, il n’y a pas de fleurs. Moi j’aime la pluie et Jésus.”