Des histoires de pet, sans nez à pincer

Cet aprem, je suis entrée au Limasson, une petite librairie de quartier, avec des livres dont je ne comprends pas encore le classement et une libraire incomparable.

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Une libraire devenue une amie, qui laisse des traces de rouge sur les joues de mes enfants, et qui raconte l’Angoulème de son enfance, ses tracas amoureux, ses valises pour un autre pays, qui se raconte sans méfiance, avec autant de générosité que lorsqu’elle propose des lectures.

Mon fils voulait un livre avec des dinosaures et un livre avec des modèles de camions en carton à monter. Ma fille, elle, a trouvé le livre qu’il nous fallait en cette journée du douze août, la journée du livre-québécois-à-acheter-à-célébrer-à-recommander : L’abécédaire du pet, de Philippe Béha.

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Nous nous sommes installés dans les marches de l’église, juste en face de la librairie, et je leur ai lu deux fois. Ils riaient, grâce aux « petits rats de l’opéra/ et un ouaouaron bien rond/ répètent du Wagner/ les fesses en l’air », aux « nuages noirs ! Noirs !/font des pets du tonnerre » et au « festin de féculents ».

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À la maison, je leur ai relu L’abécédaire du pet, et mon fils ne pas parlé de camions.

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